29 septembre 2021 – Argentine : suppression de la taxe sur les services exportés
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Selon le communiqué, la taxe sur les services exportés sera totalement supprimée en 2022 dans le but de favoriser la création d’emplois de qualité, de générer des devises et de corriger une mesure qui nuisait au secteur des services.-source: Orbitax
29 septembre 2021 – Suisse: Les électeurs rejettent l’augmentation de l’imposition des revenus du capital des particuliers
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29 septembre 2021 – Jordanie: Les contribuables sont invités à s’inscrire volontairement à la taxe de vente
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Le communiqué note également que les contribuables devraient volontairement prendre l’initiative de s’inscrire au lieu d’être obligatoirement inscrits par le ministère, afin d’éviter de s’exposer aux procédures judiciaires engagées contre ceux qui ne s’enregistrent pas.-source: Orbitax
29 septembre 2021 – Pologne: Révision des exonérations minimales d’impôt sur les sociétés proposées
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29 septembre 2021 – Union européenne : Le Conseil de l’UE adopte une directive sur les déclarations publiques pays par pays
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Comme indiqué précédemment, le texte convenu de la directive exige des entreprises multinationales dont le chiffre d’affaires consolidé total dépasse 750 millions d’euros au cours de chacun des deux derniers exercices consécutifs, qu’elles soient basées dans l’UE ou à l’extérieur, qu’elles divulguent publiquement des informations fiscales dans chaque État membre de l’UE, ainsi que dans chaque pays tiers figurant à l’annexe I des conclusions du Conseil sur la liste de l’UE des pays et territoires non coopératifs à des fins fiscales ou figurant depuis deux années consécutives à l’annexe II des présentes conclusions du Conseil. Pour d’autres juridictions, les informations peuvent être divulguées sur une base agrégée.
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Reporting public pays par pays : le Conseil ouvre la voie à une plus grande transparence des entreprises pour les grandes multinationales
Le Conseil a adopté aujourd’hui sa position en première lecture sur la proposition de directive concernant la divulgation d’informations fiscales par certaines entreprises et succursales, communément appelée directive sur la déclaration publique pays par pays (CBCR), ouvrant la voie à son adoption définitive . L’adoption de la position du Conseil fait suite à un accord provisoire conclu avec le Parlement européen en juin.
La directive CBCR vise à améliorer la transparence des grandes entreprises multinationales . Il obligera certaines entreprises multinationales dont le chiffre d’affaires dépasse 750 millions d’euros à divulguer publiquement dans un rapport spécifique l’impôt sur le revenu qu’elles paient. Pour la première fois, les multinationales non européennes exerçant leurs activités dans l’UE par l’intermédiaire de filiales et de succursales devront également se conformer aux mêmes obligations de déclaration que les entreprises multinationales de l’UE.
Le reporting interviendra dans les 12 mois suivant la date du bilan de l’exercice concerné. La directive fixe les conditions dans lesquelles une entreprise peut différer la divulgation de certaines informations pour une durée maximale de cinq ans.
La directive proposée précise également qui est responsable du respect de l’obligation de déclaration.
Contexte et prochaines étapes
La proposition de directive, déposée pour la première fois en avril 2016, fait partie du plan d’action de la Commission européenne pour un système d’imposition des sociétés plus équitable.
Le Parlement européen a adopté sa position en première lecture le 27 mars 2019. Les négociations entre les colégislateurs ont commencé en mars 2021 et ont abouti à un accord provisoire le 1er juin 2021, avec la finalisation de points tels que la période de transition et la clause de sauvegarde.
La prochaine étape avant que la directive puisse entrer en vigueur est l’approbation formelle de l’accord provisoire par le Parlement européen. La directive entrera en vigueur le vingtième jour suivant sa publication au Journal officiel de l’Union européenne. Les États membres auront 18 mois à compter de l’entrée en vigueur de la directive pour la transposer en droit national.
- Position du Conseil en première lecture
- Proposition de la Commission relative à la divulgation d’informations fiscales par certaines entreprises et succursales
-source: Orbitax
28 septembre 2021 – Commission européenne: proposition d’une directive pour la mise en œuvre de l’impôt minimum du pilier 2
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Le deuxième pilier fixera un taux effectif minimum d’impôt sur les sociétés d’au moins 15 % sur une base juridictionnelle. Il s’appliquera aux multinationales dont le chiffre d’affaires consolidé s’élève à 750 millions d’euros et comprendra des exclusions de substance fondées sur des formules.
Le premier pilier définira la réaffectation d’une partie des (super-) bénéfices des plus grandes multinationales mondiales vers les juridictions de marché. Une partie des bénéfices (20 à 30 %) dépassant une marge bénéficiaire de 10 % des entreprises les plus grandes et les plus rentables du monde sera mise en commun au niveau mondial, puis distribuée aux juridictions de marché où se trouvent les utilisateurs et les clients d’une multinationale, en utilisant une méthode appelée « répartition par formule ».
Il s’agit d’un concept probablement connu de nombre d’entre vous, qui consiste à (ré)-attribuer l’assiette fiscale à certaines juridictions sur la base d’une formule composée d’un ou plusieurs facteurs.
La directive proposée doit être publiée une fois qu’un accord sur la solution globale sera trouvé. Concernant les États membres de l’UE qui n’ont pas encore signé la déclaration du cadre inclusif acceptant la solution à deux piliers, Thomas a noté que « la Commission ne ménagera aucun effort, afin que nous puissions parvenir à un accord final avec tous les États membres de l’UE à bord en cours de l’automne. C’est notre priorité. Les États membres qui n’ont pas encore signé sont l’Estonie, la Hongrie et l’Irlande -source: Orbitax
28 septembre 2021 – Chili: Projet de loi pour supprimer l’exonération des plus-values en bourse
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- La suppression de l’exonération d’impôt sur les plus-values de cession d’actions cotées en bourse avec l’introduction d’un impôt unique de 5 % sur ces plus-values retenu par l’acquéreur, l’agent de change ou l’agent en valeurs mobilières agissant pour le compte du vendeur, ce qui entrerait en vigueur six mois après l’entrée en vigueur du projet de loi (loi) ;
- La suppression du crédit spécial TVA en aval (65%) sur la vente de logements résidentiels éligibles par les entreprises de construction contre acomptes de taxe professionnelle pour les contrats de construction conclus à partir du 1er janvier 2024, avec une réduction initiale du taux du crédit à 32,5% pour la construction contrats conclus à partir du 1er janvier 2022, avec réduction et suppression correspondantes du crédit pour ventes exonérées ; et
- Modifications visant à prévoir que tous les services sont soumis à la TVA à partir du 1er janvier 2022, à moins qu’une exonération ne soit expressément prévue, comme pour les services d’enseignement, les services de transport de passagers et les services de santé, ce qui inclut la suppression des références à une liste actuelle de services soumis à la TVA.
Le projet de loi (loi) entrera généralement en vigueur le premier jour du mois suivant sa publication au Journal officiel, avec plusieurs dispositions différentes de transition et de date d’entrée en vigueur pour les différentes mesures.-source: Orbitax
28 septembre 2021 – Chypre: Mauvaises nouvelles fiscales à partir de 2022 ! Introduction de nouvelles mesures fiscales dans le cadre de son plan national de relance et de résilience
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Résumé des Réformes
Le 26 juillet 2021, le Conseil des affaires économiques et financières (ECOFIN) a approuvé le plan national de relance et de résilience (PRR) de Chypre. Le RRP définit les mesures qui seront soutenues par le mécanisme de récupération et de résilience (RRF). Le RRF est soutenu par NextGenerationEU, qui fournira 800 milliards d’euros dans toute l’Union européenne (UE) pour aider les États membres de l’UE à se remettre de la pandémie de COVID-19.
En ce qui concerne Chypre, le RRP comprend plusieurs réformes et investissements allant de l’accessibilité et de la résilience globale du secteur de la santé à la promotion de l’économie verte. Le RRP énonce également des mesures pour améliorer la perception de l’impôt et lutter contre la planification fiscale agressive. Ces mesures comprennent un ensemble de jalons pour leur mise en œuvre et leur évaluation.
Plus précisément, les mesures les plus importantes qui affecteront le système fiscal chypriote comprennent :
- Introduction de retenues à la source sur les paiements sortants de dividendes, intérêts et redevances
- Extension de l’application du régime fiscal pour l’investissement dans les entreprises innovantes
- Introduction de taxes vertes
- Introduction de mesures spécifiques pour améliorer le recouvrement des impôts
Cette alerte résume les mesures clés.
Discussion détaillée
Composante 2.1 – Neutralité climatique, efficacité énergétique et énergies renouvelables – Réforme 1 : Taxation verte
Les objectifs de ce volet sont d’améliorer la politique environnementale par des mesures relatives à la fiscalité verte.
Ce volet vise à promouvoir une évolution vers une utilisation plus efficace des ressources environnementales, à réduire les émissions de gaz à effet de serre et à accroître la pénétration des énergies renouvelables.
Les modifications législatives proposées seront basées sur les conclusions d’une étude indépendante et devraient être mises en œuvre d’ici le 30 juin 2026. Celles-ci comprennent :
- Taxe carbone pour les carburants utilisés dans les secteurs de l’économie ne relevant pas du système d’échange de quotas d’émission de gaz à effet de serre de l’UE
- Taxe sur l’eau
- Redevance sur les déchets ménagers/décharges
Composante 3.2 – Renforcement de la Recherche et de l’Innovation – Réforme 2 : Incitations pour encourager et attirer les investissements et le capital humain dans la Recherche et l’Innovation
Les objectifs de cette composante sont, entre autres, de renforcer les liens entre les organismes de recherche et les entreprises et d’accroître l’intensité des activités de recherche et développement (R&D) et les investissements des organismes publics et privés. En outre, il vise à renforcer le soutien financier aux start-ups, aux scale-ups, aux PME et à internationaliser l’écosystème local de recherche et d’innovation (R&I).
Réforme 2 du C3.2. concerne l’extension de l’application du régime fiscal de l’investissement dans les entreprises innovantes aux personnes morales (à partir de personnes physiques actuellement) et sera mis en œuvre d’ici le 30 septembre 2022.
Composante 3.5 – Sauvegarder la stabilité budgétaire et financière
L’objectif de ce volet, outre la sauvegarde de la stabilité financière, est d’assurer la stabilité fiscale en luttant contre l’évasion fiscale, l’évasion fiscale et la planification fiscale agressive. Il vise également à fournir aux décideurs des données complètes afin de concevoir un système fiscal équitable. Les mesures envisagées devraient rendre le recouvrement des recettes plus efficace et le système fiscal chypriote plus équitable, en réduisant les retombées d’une planification fiscale agressive.
Réforme 9 : Améliorer le recouvrement des impôts et l’efficacité de la Direction des Impôts
L’objectif de cette mesure est de rendre la collecte des impôts plus efficace et efficiente, grâce à un niveau plus élevé de numérisation et de conformité fiscale, ainsi qu’à l’amélioration du service client.
La réforme consistera à intégrer différentes unités, procédures et processus fiscaux, afin d’offrir un point de service unique aux contribuables. Il comprendra également des modifications législatives et la mise en œuvre d’un nouveau système informatique et la numérisation du service fiscal.
Ce dernier comprendra : (a) un point d’enregistrement unique pour l’assiette fiscale et Taxisnet (pour la soumission électronique des déclarations d’impôt sur le revenu par les particuliers, les personnes morales et les employeurs) ; (b) un processus de contrôle fiscal intégré basé sur l’évaluation des risques; (c) un audit intégré des remboursements ; (d) un point de service unique intégré et amélioré, y compris le paiement direct de la taxe sur la valeur ajoutée et la connexion des entreprises à un serveur détenu au sein du service des impôts, sans recours à des mécanismes spécialisés ; (e) un processus de délivrance d’attestations fiscales uniques; (f) possibilité d’ajustements immédiats du système pour s’adapter à toute modification de la législation et/ou des procédures et extension des interfaces sécurisées avec d’autres systèmes d’information; (g) capacités d’analyse de données;
Les modifications législatives devraient être mises en œuvre d’ici le 31 décembre 2025 et comprendront :
- Législation récemment introduite pour mettre en œuvre la soumission obligatoire des déclarations de revenus par toute personne physique ayant des revenus tels que définis à l’article 5 de la loi sur l’impôt sur le revenu, quel que soit le seuil à partir de l’année d’imposition 2020 (sous réserve d’exceptions)
- Incrimination du non-paiement des impôts sur le revenu
Réforme 10 : Lutter contre la planification fiscale abusive
L’objectif global des mesures de la réforme 10 de C3.5 est d’accroître l’efficacité, l’efficience et l’équité du système fiscal en luttant contre l’évasion fiscale et la planification fiscale agressive par les entreprises multinationales.
Les premières sous-mesures de réforme, qui seront promulguées d’ici le 31 décembre 2021 et entreront en vigueur d’ici le 31 décembre 2022, consistent à :
- Imposer une retenue à la source sur les paiements sortants d’intérêts, de dividendes et de redevances effectués aux juridictions de l’annexe I de la liste de l’UE des juridictions non coopératives en matière fiscale.
- Introduire un test de résidence fiscale des sociétés qui viendra s’ajouter au test de gestion et de contrôle. Le premier test sera la gestion et le contrôle et, dans les cas où une société est constituée à Chypre mais sa gestion et son contrôle sont effectués à partir d’une autre juridiction, elle sera considérée comme un résident fiscal de Chypre et sera imposée conformément à la disposition pertinente. de la Loi de l’impôt sur le revenu, à condition que l’entreprise ne soit pas un résident fiscal ailleurs (pour éviter le double statut de résidence).
La deuxième sous-mesure de réforme, qui devrait être promulguée d’ici le 31 décembre 2024, consiste à :
- Introduire une retenue à la source sur les paiements sortants de dividendes, d’intérêts et de redevances vers les juridictions à faible imposition. En ce qui concerne les paiements d’intérêts et de redevances, les autorités chypriotes peuvent étudier l’approche consistant à appliquer la non-déductibilité au lieu d’une retenue à la source.
La troisième sous-mesure de réforme, qui devrait être promulguée d’ici le 30 juin 2026, consiste en :
- Une évaluation indépendante qui devrait être achevée d’ici le 31 décembre 2024, au cours de laquelle Chypre évaluera l’efficacité de l’ensemble des mesures liées à la planification fiscale agressive. Cette évaluation analysera le cadre fiscal chypriote de manière globale, y compris toutes les mesures adoptées d’ici là. L’évaluation doit conduire à une action politique à entreprendre par Chypre pour remédier à toute lacune identifiée, y compris sous la forme de modifications législatives, qui entreront en vigueur au plus tard le 30 juin 2026.-source: EY
27 septembre 2021 – Guernesey: Introduction d’une TVA
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L’introduction d’une taxe sur les produits et services (TPS) avec un taux de cinq ou huit pour cent est incluse dans deux des trois options proposées par le Comité des politiques et des ressources de Guernesey, qui a été chargé d’identifier les sources potentielles de revenus pour le gouvernement. L’alternative serait une « taxe santé » de trois pour cent, prélevée par le système de sécurité sociale.
Étant donné que l’introduction d’une TPS serait régressive, le Comité a proposé que l’impact du prélèvement soit compensé par une augmentation de l’exonération d’impôt sur le revenu des personnes physiques et des modifications visant à rendre le système d’imposition de la sécurité sociale plus progressif.
Mark Helyar, responsable de la trésorerie pour le comité des politiques et des ressources, a déclaré : « Cet examen vise à nous assurer que nous savons clairement comment nous devrions augmenter les revenus, si et quand nous en avons besoin. Cela ne signifie pas que nous allons augmenter les revenus maintenant , ou même l’année prochaine, mais nous devrons peut-être le faire éventuellement. »
« Notre assiette fiscale actuelle n’est pas viable. Elle est inconfortablement étroite avec près des deux tiers de nos revenus provenant d’impôts et de cotisations imputés sur le revenu des personnes. Le nombre de personnes âgées dans notre communauté augmente, tout comme le volume des pensions et des services de soins qu’elles Nous avons également besoin d’une solution à long terme pour soutenir les investissements dans les infrastructures de nos îles – les emprunts convenus dans le plan de financement et d’investissement soutiendront notre programme d’investissement jusqu’en 2025, mais pas au-delà. Des changements sont nécessaires, mais la question est de savoir ce ce que ce changement représenterait ? »
« En présentant ces trois options aux États, nous faisons un pas de plus vers la garantie d’une assiette fiscale durable. Mais à ce stade, aucune de ces options n’est un fait accompli. Il appartiendra aux États d’évaluer ces trois options. et donner des indications sur le chemin que nous devons prendre. »
L’île voisine de Jersey prélève déjà une taxe sur les produits et services à un taux de cinq pour cent. source: Lowtax
15 septembre 2021 – Pologne: Introduction d’un impôt minimum sur les sociétés dans le cadre d’un « accord polonais »
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L’impôt minimum serait calculé comme 10 % sur 4 % des revenus autres que les plus-values (un impôt de 0,4 % sur les revenus) plus 10 % sur :
- Frais de financement avec des parties liées dépassant 30 % de l’EBITDA ;
- La valeur de l’impôt différé résultant de la divulgation dans les règlements fiscaux d’une immobilisation incorporelle non soumise à amortissement, dans la mesure où elle entraîne une augmentation de la marge brute ou une diminution de la perte brute ; et
- Les coûts suivants encourus avec des parties liées ou des résidents de paradis fiscaux pour un montant supérieur à 5 % de l’EBITDA plus 3 millions de PLN, à quelques exceptions près :
- services de conseil, études de marché, services de publicité, gestion et contrôle, traitement de données, facturation d’assurances, garanties et services similaires;
- redevances pour l’utilisation ou le droit d’utiliser des actifs incorporels (paiements de redevances, droits de licence, etc.) ; et
- le transfert du risque de défaillance des prêts, autres que ceux fournis par les banques et les coopératives de crédit, y compris en ce qui concerne les obligations découlant des dérivés et des avantages similaires.
Notez que la limite actuelle de déduction des mêmes coûts énumérés ci-dessus lorsqu’ils sont encourus avec des parties liées ou des résidents de paradis fiscaux doit être abrogée avec l’introduction de l’impôt minimum.
Pour déterminer l’impôt minimum dû, certaines déductions seraient autorisées, notamment pour les dons éligibles et les frais de R&D. L’impôt minimum lui-même serait également déductible de l’impôt sur les sociétés ordinaire avec la possibilité de reporter l’impôt minimum jusqu’à trois ans pour la déduction. Enfin, plusieurs exceptions à l’impôt minimum s’appliqueraient, notamment pour :
- Nouveaux contribuables au cours de leurs trois premières années d’exploitation ;
- Institutions financières;
- Les contribuables qui subissent une réduction de leurs revenus d’au moins 30 % par rapport à l’année précédente ; et
- Sociétés qui n’ont comme actionnaires que des personnes physiques et n’ont pas de filiales.
Sous réserve d’approbation, l’impôt minimum sur les sociétés est d’application à compter du 1er janvier 2022..-source: Orbitax
15 septembre 2021 – Grèce: Taux d’imposition réduit pour les fusions de PME et d’autres mesures
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La mesure de déduction de 30 % a en outre été confirmée par le ministère des Finances dans un communiqué du 13 septembre 2021, qui a également noté que les entreprises individuelles peuvent s’associer pour créer une nouvelle entité juridique et bénéficier de la même déduction. Les détails de la mesure doivent être fournis dans un proche avenir. Le ministère a également confirmé d’autres mesures, notamment :
- La prolongation de l’exonération de contribution spéciale de solidarité pour 2022 ;
- La prolongation du taux réduit de TVA (13%) pour le transport de personnes, le café et les boissons non alcoolisées, le cinéma, et le tourisme jusqu’en juin 2022 ;
- La déduction supplémentaire de 100 % pour les investissements verts, énergétiques et numériques des PME ; et
- Une réduction de 50 % de la taxe sur la capitalisation pour les entreprises à compter du 1er octobre 2021..-source: Orbitax
15 septembre 2021 – Mexique : Mise à jour des fournisseurs de services numériques non-résidents enregistrés
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En vertu de ces exigences, les prestataires de services non-résidents sont tenus de s’inscrire auprès du Registre fédéral des contribuables lorsqu’ils fournissent des services à des destinataires au Mexique et doivent comptabiliser et percevoir la TVA sur leurs services. En outre, les utilisateurs individuels qui fournissent des biens, des services ou un hébergement au Mexique via l’utilisation de services d’intermédiation numérique sont soumis à l’impôt sur le revenu et à la TVA, qui doivent généralement être retenus et versés par le fournisseur de services d’intermédiation.-source: Orbitax
15 septembre 2021 – Danemark : Propositions pour une déduction permanente de 130 % pour les dépenses de R&D
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5 septembre 2021 – Inde: clarification sur le report des pertes en cas de changement d’actionnariat en raison d’un désinvestissement stratégique
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La CBDT émet des éclaircissements concernant le report des pertes en cas de changement d’actionnariat en raison d’un désinvestissement stratégique
La loi de finances de 2021 a modifié l’article 72A de la loi de 1961 sur l’impôt sur le revenu (la loi) pour prévoir notamment qu’en cas de fusion d’une entreprise du secteur public (PSU) qui cesse d’être une PSU (anciennement entreprise du secteur public) , dans le cadre d’un désinvestissement stratégique, avec une ou plusieurs sociétés, alors, sous réserve des conditions qui y sont prévues, la perte cumulée et la dépréciation non absorbée de la société fusionnante sont réputées être la perte, ou selon le cas, provision pour amortissement non absorbé de la société fusionnée pour l’année précédente au cours de laquelle la fusion a été effectuée.
Afin de faciliter le désinvestissement stratégique, il a été décidé que l’article 79 de la loi de 1961 sur l’impôt sur le revenu ne s’appliquerait pas à une ancienne entreprise du secteur public qui l’est devenue à la suite d’un désinvestissement stratégique. En conséquence, les pertes subies au cours de toute année antérieure à, et y compris, l’année précédente de désinvestissement stratégique seront reportées et compensées par l’ancienne entreprise du secteur public. L’assouplissement ci-dessus cessera de s’appliquer à compter de l’année précédente au cours de laquelle la société, qui était la société holding ultime de cette ancienne société du secteur public immédiatement après la réalisation du désinvestissement stratégique, cesse de détenir, directement ou par l’intermédiaire de sa ou de ses filiales, cinquante-cinq un pour cent des droits de vote de l’ancienne entreprise du secteur public.
Les termes « ancienne entreprise du secteur public » et « désinvestissement stratégique » ont le sens dans l’explication de la clause (d) de la sous-section (1) de la section 72A de la loi de 1961 sur l’impôt sur le revenu.
Les modifications législatives nécessaires à la décision ci-dessus seront proposées en temps utile.-source: Orbitax
12 septembre 2021 – Maroc: Publication d’un guide actualisé sur les incitations fiscales
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- Incitations sectorielles à l’exportation, y compris un taux d’imposition maximum de 20 % pour les entreprises éligibles exportant des produits ou des services par rapport à la norme de 31 % pour les bénéfices dépassant 1 000 000 MAD, ainsi qu’une exonération de TVA avec droit à déduction (c’est-à-dire au taux zéro) pour les produits et services fournis à l’exportation ;
- Incitations pour les entreprises établies dans les zones d’accélération industrielle (ZAI), dont une exonération de 5 ans suivie d’un taux réduit d’impôt sur les sociétés de 15 %, ainsi qu’une exonération de retenue à la source sur les dividendes versés aux non-résidents et un taux zéro de TVA pour les produits fournis et les services rendus aux IAZ et les transactions effectuées au sein ou entre les ZAI ;
- Incitations à l’externalisation des services, y compris une exonération de 5 ans suivie d’un taux d’imposition maximum de 20 % ;
- Incitations pour les entreprises industrielles exerçant des activités réglementées, dont une exonération de 5 ans suivie d’un taux d’imposition maximum de 20 % sur les ventes de produits manufacturés aux entreprises exportatrices pour l’exportation et sur les ventes en devises aux entreprises étrangères et aux entreprises des ZAI en relation d’exporter des opérations ;
- Incitations dans le secteur des transports, y compris une exonération de l’impôt retenu à la source sur les revenus des droits de location et rémunérations assimilées pour l’affrètement, la location et l’entretien d’aéronefs utilisés pour le transport international, ainsi qu’un taux zéro de TVA pour différentes fournitures connexes
- Incitations du secteur minier, dont un taux d’imposition maximum de 20 % dès la première année d’exportation et sur les ventes aux entreprises exportatrices ;
- Incitation à l’artisanat, dont un taux d’imposition maximum de 20 % pour les cinq premières années d’exploitation ;
- Incitations pour le secteur de l’enseignement privé et de la formation professionnelle, dont un taux d’imposition maximal de 20 % pour les cinq premières années d’exploitation et un taux zéro de TVA pour certaines fournitures connexes ;
- Incitations du secteur du sport, dont une exonération permanente de l’impôt sur les sociétés pour les fédérations et associations sportives reconnues d’utilité publique, et une exonération de 5 ans suivie d’un taux d’imposition maximum de 20 % pour les entreprises sportives ;
- Incitations du secteur du tourisme, dont une exonération de 5 ans suivie d’un taux d’imposition maximum de 20 % pour les sociétés hôtelières sur les revenus réalisés en devises étrangères, qui est également prévue pour les revenus en devises tirés par les sociétés de gestion de résidences de développement touristique et établissements de divertissement touristique réglementés;
- Incitations du secteur immobilier, y compris une exonération générale d’impôts et d’autres frais pour les promoteurs immobiliers construisant des logements sociaux et des logements de faible valeur, ainsi qu’une exonération d’impôt sur le revenu pendant 8 ans pour les propriétaires de ces logements ;
- Des incitations au secteur agricole, dont une exonération permanente pour les agriculteurs dont le chiffre d’affaires annuel est inférieur à 5 000 000 MAD, ainsi qu’un taux d’imposition maximum de 20 % pour les exploitations agricoles et un taux de TVA nul et un taux de TVA réduit de 10 % pour certains biens ; et
- Incitations dans le secteur des hydrocarbures, dont une exonération fiscale de 10 ans pour les titulaires d’une concession d’exploitation de gisements d’hydrocarbures à compter de la date de production régulière, ainsi qu’une exonération de retenue à la source sur les distributions de bénéfices et de dividendes.
En plus des incitations sectorielles, le guide couvre également d’autres incitations spécifiques, notamment les incitations d’exonération pour différents organismes de placement collectif, les incitations à la réduction d’impôt pour les sociétés dont les titres sont cotés en bourse, les incitations pour le service Casablanca Finance City entreprises, et autres.-source: Orbitax
12 septembre 2021 – Île de Man : Nouvelle taxe sur les emballages en plastique en avril 2022
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Taxe sur les emballages en plastique
jeudi 2 septembre 2021
Le Trésor a publié un projet de loi introduisant une nouvelle taxe sur les emballages plastiques qui entrera en vigueur le 1er avril 2022.
Il s’agit d’une nouvelle taxe qui s’appliquera aux emballages en plastique fabriqués ou importés sur l’île et au Royaume-Uni, qui ne contiennent pas au moins 30 % de plastique recyclé. Les emballages en plastique sont des emballages qui sont majoritairement en plastique au poids. La taxe sera facturée au taux de 200 £ par tonne métrique d’emballages en plastique.
Des conseils sur la taxe et le projet de législation sont disponibles sur notre page Législation relative aux douanes et à la TVA .
Le Trésor ne prévoit pas que cette taxe aura un impact significatif sur les entreprises de l’Île ; cependant, si vous êtes une entreprise qui fabrique des emballages en plastique sur l’île ou importe des emballages en plastique d’un pays autre que le Royaume-Uni, la Division des douanes et de l’accise aimerait connaître votre opinion.
Détails du contact: Tél. : +44 01624 648109. – Courriel : customs@gov.im –source: Orbitax
12 septembre 2021 – Etats-Unis: Les sénateurs américains soumettent des idées pour assurer une plus grande équité dans le système fiscal international
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WHITEHOUSE, DURBIN, VAN HOLLEN, WARREN & REED DEMANDENT L’ADOPTION DES PRINCIPALES RÉFORMES FISCALES BIDEN INTERNATIONAL
Les sénateurs soumettent des idées pour assurer une plus grande équité dans notre système fiscal international, stimuler la compétitivité des travailleurs américains et des entreprises nationales
Washington, DC – Aujourd’hui, les sénateurs Sheldon Whitehouse (D-RI), Dick Durbin (D-IL), Chris Van Hollen (D-MD), Elizabeth Warren (D-MA) et Jack Reed (D-RI) ont répondu à une invitation à commenter le projet de plan rédigé par le président de la commission des finances du Sénat, Ron Wyden (D-OR) et les sénateurs Sherrod Brown (D-OH) et Mark Warner (D-VA) pour remanier le système américain de fiscalité internationale. Les rédacteurs ont demandé des commentaires sur des questions clés qui détermineront l’efficacité de la législation. Les sénateurs appellent à suivre l’exemple du président Biden, dont la proposition créerait un système fiscal international plus juste qui uniformiserait les règles du jeu pour les travailleurs américains et les entreprises nationales qui rivalisent avec les grandes multinationales. Ils soulignent également les revenus considérables que leurs idées généreraient pour aider à financer le plan Build Back Better du président Biden.
« La réparation de notre système fiscal international fournira une source majeure de revenus pour financer le plan Build Back Better du président Biden pour créer une économie qui fonctionne pour tout le monde », écrivent les sénateurs. « Mais son importance va au-delà de l’augmentation des recettes. Une réforme fiscale internationale solide rendra notre code fiscal plus équitable et améliorera la compétitivité des travailleurs américains et des entreprises nationales. au dessous de. »
Wyden, Brown et Warner ont publié un cadre pour la réforme fiscale internationale en avril, suivi d’un projet de discussion plus substantiel fin août. Les trois sénateurs ont demandé que les commentaires sur leur proposition soient soumis avant le 3 septembre.
Dans leur lettre, Whitehouse, Durbin, Van Hollen, Warren et Reed mentionnent plusieurs moyens de garantir que le projet respecte sa promesse, notamment :
- Un taux sur les bénéfices étrangers (GILTI) qui n’est pas inférieur à ce que le président Biden a proposé, mais idéalement égal au taux d’imposition national, pour inverser les incitations des entreprises à transférer leurs bénéfices et à externaliser des emplois à l’étranger.
- Des réformes visant à combler les lacunes de la disposition de la loi fiscale Trump sur l’érosion de la base d’imposition et la taxe anti-abus (BEAT), qui n’encourage pas les pays qui n’ont pas adhéré à l’accord fiscal mondial à le faire.
- Abrogation du nouvel allégement fiscal créé par la loi fiscale Trump connue sous le nom de Foreign Derived Intangible Income (FDII), qui encourage les grandes multinationales à localiser des actifs tels que des usines et des équipements à l’étranger.
- Des réformes pour empêcher les « inversions », où les entreprises renoncent à leur citoyenneté américaine pour éviter les impôts.
- Lutter contre le dépouillement des bénéfices en restreignant la déduction des intérêts pour les entreprises multinationales ayant un endettement intérieur excédentaire.
- Exiger la divulgation publique des bénéfices, des impôts, des employés et des actifs corporels à l’IRS, ce qui permettrait aux investisseurs d’accéder à ces informations importantes et aux décideurs politiques et au public d’évaluer l’efficacité de nos lois fiscales internationales.
Lisez le commentaire complet des sénateurs ici . -source: Orbitax
12 septembre 2021 – Roumanie : Publication d’une ordonnance portant modification du code fiscal
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- L’ajout d’une disposition pour préciser que pour les personnes morales étrangères ayant un siège de direction effective en Roumanie, la période imposable (assujettissement à l’impôt) commence à compter de la date d’enregistrement auprès de l’autorité fiscale centrale ;
- La modification des conditions d’exonération des dividendes dans le cadre de la mise en œuvre nationale de la directive mère-filiale de l’UE afin de se conformer pleinement à la directive, à condition que la condition d’assujettissement à l’impôt comprenne l’impôt sur les sociétés (impôt sur les bénéfices) ou un autre impôt se substituant à la l’impôt sur les sociétés (le libellé actuel ne mentionne que l’impôt sur les sociétés) ;
- Une augmentation du plafond de déductibilité des provisions pour créances douteuses de 30 % à 50 % à compter du 1er janvier 2022 (une augmentation précédemment approuvée à 100 % est abrogée) ;
- L’ajustement des dispositions pour la mise en œuvre de la directive de l’UE sur la lutte contre l’évasion fiscale (ATAD) en ce qui concerne le paiement de la taxe de sortie en versements égaux sur cinq ans, y compris des dispositions supplémentaires concernant la programmation des versements, les exigences de garantie s’il existe un réel et risque démontrable de non-recouvrement, de déclenchement d’un paiement immédiat dans certains cas, et d’autres questions ; et
- La modification du régime fiscal des dividendes versés à des personnes morales étrangères dans les États de l’EEE, à savoir l’Islande, le Liechtenstein et la Norvège, afin que le même traitement (exonération) s’applique que pour les dividendes versés entre sociétés résidentes, ce qui vise à éviter les procédures d’infraction.
En plus de ce qui précède, certaines modifications de la TVA sont apportées, notamment en ce qui concerne l’enregistrement à la TVA et l’accès au guichet unique de l’UE (OSS) pour le commerce électronique. Les modifications résolvent les problèmes d’infraction qui ont été notifiés par la Commission européenne en juillet 2021 en modifiant les règles d’enregistrement préalable qui excluaient effectivement certains assujettis de l’OSS. Cela comprend de nouvelles règles permettant aux petits assujettis ayant leur siège social en Roumanie d’appliquer le régime OSS sans renoncer à l’application du régime d’exonération spéciale pour les petites entreprises, ainsi que de nouvelles règles permettant aux assujettis (obligatoires) de s’inscrire à la TVA lorsqu’ils optent appliquer le régime de l’OSS dans les cas où les conditions normales d’enregistrement à la TVA ne sont pas autrement remplies.
L’ordonnance transpose également une mise à jour de la directive TVA de l’UE adoptée en juillet 2021 pour prévoir que les achats de biens et de services par un organisme de l’UE au nom des États membres pour répondre à l’urgence posée par la pandémie de COVID-19 sont temporairement ajoutés à la liste. des transactions exonérées dans la directive TVA, à compter du 1er janvier 2021. Auparavant, cette exonération était limitée aux achats effectués par un organisme de l’UE pour l’usage officiel de cet organisme de l’UE. -source: Orbitax
10 septembre 2021 – Colombie: Mise à jour – Le programme de réforme fiscale révisé de la Colombie est approuvé par le Congrès en attendant les procédures d’harmonisation
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Les mesures approuvées en commission comprennent :
- Une augmentation du taux d’imposition des sociétés de 30 % à 35 % en 2022 (taux actuel de 31 % qui devrait être réduit à 30 % à partir de 2022) ;
- La prolongation de l’extension de la surtaxe de 3 % pour les institutions financières et le régime de régularisation fiscale (amnistie) avec un taux d’imposition de 17 %, réduit de 50 % lorsque des actifs offshore non divulgués sont rapatriés et conservés en Colombie pendant au moins deux ans ;
- Une extension du congé fiscal (exonération) incitatif pour les industries créatives afin d’inclure les entreprises constituées en société et qui démarrent une activité économique d’ici le 30 juin 2022 (actuellement requise d’ici le 31 décembre 2021) ;
- Une révision de la définition de bénéficiaire effectif ultime (UBO) et l’introduction d’un nouveau registre UBO ;
- L’introduction de nouvelles règles détaillées sur l’émission de factures électroniques ;
- L’introduction du remboursement automatique de la TVA pour les producteurs de biens détaxés, à condition que 100 % de la TVA en amont et des revenus perçus soient dûment pris en charge par le système de facturation électronique ;
- La modification de l’exonération de TVA pour les importations de faible valeur afin qu’elle ne s’applique qu’aux marchandises importées d’un pays avec lequel la Colombie a un accord de libre-échange ; et
- L’introduction de plusieurs nouvelles dispositions pour améliorer l’administration fiscale.
Une fois la législation harmonisée, le texte final doit être envoyé au président pour être promulgué et publié. -source: Orbitax
10 septembre 2021 – Grèce : Extension de la réduction des cotisations de sécurité sociale
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10 septembre 2021 – Finlande : Publication du texte synthétisé de la convention fiscale avec l’Indonésie touchée par le BEPS MLI
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Le MLI s’applique à la convention fiscale Finlande-Indonésie de 1987 :
- En Finlande:
- en ce qui concerne les impôts retenus à la source sur les montants payés ou crédités à des non-résidents, lorsque l’événement donnant lieu à ces impôts survient à compter du 1er janvier 2021 ; et
- en ce qui concerne tous les autres impôts prélevés par la Finlande, pour les impôts prélevés au titre des périodes imposables commençant le ou après le 1er janvier 2022 ;
- En Indonésie:
- en ce qui concerne les impôts retenus à la source sur les montants payés ou crédités à des non-résidents, lorsque l’événement donnant lieu à ces impôts survient à compter du 1er janvier 2021 ; et
- en ce qui concerne tous les autres impôts prélevés par l’Indonésie, pour les impôts prélevés au titre des périodes imposables commençant le ou après le 1er janvier 2022.
Cliquez sur le lien suivant pour accéder à la page des conventions fiscales sur le site Web FINLEX du ministère de la Justice, qui comprend les textes synthétisés des conventions fiscales de la Finlande.-source: Orbitax
10 septembre 2021 – Ukraine : Approbation du protocole en instance à la convention fiscale avec les Émirats arabes unis
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9 septembre 2021 – Argentine : Mise à jour de la résolution générale sur la retenue à la source sur les dividendes
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Telle qu’initialement publiée, la Résolution générale 4478/2019 prévoyait un taux de retenue à la source de 7 % du 1er janvier 2018 au 31 décembre 2019 et un taux de 13 % à compter du 1er janvier 2020. L’application du taux de 7 % a ensuite été prolongée jusqu’au 31 décembre 2020 par Loi 27541 de 2019 et a été récemment rendue permanente par la loi 27630 de 2021. Compte tenu de cela, la résolution générale 4478/2019 est mise à jour par la résolution générale 5060/2021 pour inclure que le taux de 7% s’applique aux dividendes et similaires générés au cours des périodes commençant le ou après 1er janvier 2018, avec suppression de toute mention du taux de 13%. Certains autres ajustements connexes sont également effectués.-source: Orbitax
9 septembre 2021 – Irlande : Lancement d’un nouveau programme d’aide à la reprise des activités
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Irish Revenue a également publié ce qui suit pour confirmer le nouveau régime et fournir des conseils.
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Les revenus confirment que les entreprises éligibles peuvent désormais s’inscrire et faire une demande pour le programme d’aide à la reprise des entreprises
Le 1er juin 2021, le ministre Donohoe a annoncé qu’un nouveau soutien supplémentaire pour les entreprises touchées par le Covid-19 serait disponible en septembre 2021.
Les modalités du Plan d’aide à la reprise d’activité (BRSS) sont énoncées dans la loi de finances (Covid-19 et dispositions diverses) 2021 .
Aujourd’hui (09/06/2021) Revenue a confirmé que les entreprises éligibles peuvent désormais s’inscrire au BRSS via la fonction d’enregistrement électronique de ROS. L’enregistrement est une première étape nécessaire pour que les entreprises accèdent au dispositif. Une fois enregistrées, les entreprises éligibles peuvent faire une demande à tout moment jusqu’au 30 novembre 2021 pour l’aide au paiement unique via la fonction eRepayments dans ROS.
La BRSS est un accompagnement ciblé des entreprises, des indépendants, des partenariats ainsi que de certains organismes caritatifs et sportifs exerçant un métier fortement impacté par les restrictions de santé publique du Covid-19, y compris là où l’impact s’est poursuivi après l’assouplissement de les restrictions. Le régime est disponible pour les entreprises qui étaient actives au 1er septembre 2021 et qui ont l’intention de continuer à le faire. Les entreprises sont également tenues de remplir pleinement les conditions d’éligibilité du régime, telles que définies dans la législation. Les entreprises éligibles peuvent demander une aide au titre de la BRSS, qu’elles aient déjà été qualifiées ou non pour d’autres programmes gouvernementaux liés à Covid-19.
Pour bénéficier du régime, une entreprise doit être en mesure de démontrer que le chiffre d’affaires de son activité commerciale au cours de la période du 1er septembre 2020 au 31 août 2021 ne dépasse pas 25 % d’un « montant du chiffre d’affaires de référence ». Pour la plupart des entreprises, le « montant du chiffre d’affaires de référence » sera, en effet, le chiffre d’affaires de leur commerce au cours de la période du 1er janvier au 31 décembre 2019. Pour les entreprises plus récemment établies, le « montant du chiffre d’affaires de référence » sera déterminé au prorata compte tenu de la date d’entrée en vigueur.
Une personne éligible peut demander au BRSS un paiement unique qui sera égal à trois fois le chiffre d’affaires hebdomadaire moyen de l’activité commerciale concernée pour la période de référence applicable, comme suit :
- 10 % du chiffre d’affaires hebdomadaire moyen jusqu’à 20 000 €
- 5% du chiffre d’affaires hebdomadaire moyen supérieur à 20 000 € et
- sous réserve d’un versement maximum de 15 000 €.
Lorsqu’une personne admissible exerce plus d’un métier, une réclamation pour chaque métier peut être présentée, sous réserve que chacun remplisse les conditions du régime.
Pour s’inscrire au BRSS, une entreprise éligible doit :
- déclarer qu’il remplit pleinement les critères d’éligibilité du régime
- avoir un apurement fiscal et
- fournir ou vérifier certaines informations relatives à l’activité commerciale et à son chiffre d’affaires.
Des conseils détaillés sur le BRSS, y compris sur la façon de s’inscrire et de faire une demande dans le cadre du programme, sont disponibles ici. –source: Orbitax
9 septembre 2021 – Malawi: Mise à jour – date d’entrée en vigueur de la loi de 2021 sur les modifications de l’impôt sur le revenu des particuliers (amendement)
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- jusqu’à 1,2 million de MWK – 0%
- plus de 1,2 million de MWK jusqu’à 12,0 millions – 25 %
- plus de 12 millions de MWK jusqu’à 36 millions – 30%
- plus de 36 millions de MWK jusqu’à 72 millions – 35%
- plus de 72 millions de MWK – 40%
La mise à jour inclut également qu’un taux de 0 % s’applique aux autres revenus jusqu’à 1,2 million de MWK par an à partir du 13 août 2021, l’excédent étant imposé à un taux de 30 %. –source: Orbitax
9 septembre 2021 – Ukraine: Début de l’amnistie fiscale pour divulgation volontaire
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À partir d’aujourd’hui, les citoyens ukrainiens ont la possibilité de déclarer volontairement leurs revenus
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La déclaration volontaire de patrimoine est un moyen de faire sortir de l’argent et des actifs de l’économie souterraine de manière civilisée.
L’introduction d’une déclaration volontaire de patrimoine unique des particuliers et le paiement d’une redevance unique au budget est prévue par la loi n° 1539. La loi crée des incitations pour sortir de l’ombre les revenus cachés de l’impôt et les faire entrer dans le économie de l’Ukraine.
La campagne de déclaration volontaire unique de patrimoine par les particuliers durera jusqu’au 1er septembre 2022.
La déclaration de patrimoine est effectuée à la demande d’un citoyen ayant droit à une telle déclaration.
La déclaration est soumise au Service national des impôts de l’Ukraine directement par les contribuables via le Cabinet en ligne.-source: Orbitax
9 septembre 2021 – Estonie: Négociation avec l’OCDE sur une solution à deux piliers pour la réforme fiscale internationale
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8 septembre 2021 – Singapour: Publication d’un résumé des réponses à la consultation publique sur le projet de loi sur l’impôt sur le revenu (amendement) 2021
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Résumé des réponses à la consultation publique sur le projet de loi sur l’impôt sur le revenu (modification) 2021
03 sept. 2021
1. Le ministère des Finances (MOF) a invité le public à faire part de ses commentaires sur le projet de loi sur l’impôt sur le revenu (modification) 2021 du 11 juin au 2 juillet 2021. Le projet de loi propose des modifications législatives pour appliquer (i) les mesures fiscales annoncées dans le budget Déclaration 2021 du 16 février 2021 ; (ii) les mesures à l’échelle de l’économie et sectorielles annoncées par le gouvernement en mai 2021 et juillet 2021 en réponse à la pandémie de COVID-19 ; et (iii) les modifications fiscales découlant de l’examen périodique de notre régime fiscal et des modifications techniques.
2. Nous avons reçu des commentaires sur les modifications législatives proposées, en particulier sur les modifications fiscales suivantes :
- Prévoir le traitement fiscal pour deux situations : (a) les actions commerciales sont affectées à des fins non commerciales ou de capital, et (b) les actifs non commerciaux ou en capital deviennent des actions commerciales ;
- Introduire une obligation pour les contribuables de donner un avis écrit à l’IRAS lorsqu’une autorité fiscale étrangère procède à un ajustement à la baisse de l’impôt étranger, ce qui rend excessif le crédit d’impôt étranger précédemment autorisé à Singapour ;
- Permettre aux personnes autorisées par l’IRAS d’avoir accès aux dossiers et/ou documents IRAS nécessaires à l’audit de l’administration des régimes publics ; et
- Introduire une disposition pour protéger les informateurs. La disposition proposée est calquée sur la protection des dispositions relatives aux dénonciateurs dans d’autres lois nationales. Il interdit aux témoins de divulguer des informations pouvant conduire à la découverte de l’identité d’un informateur, et encourage ainsi les informateurs à fournir des informations qui permettront une application fiscale plus efficace.
Les réponses du ministère des Finances aux principaux commentaires sur les modifications législatives proposées se trouvent à l’ annexe A .
3. Les modifications législatives proposées seront intégrées au projet de loi sur l’impôt sur le revenu (modification) 2021 et présentées au Parlement en septembre 2021. Nous remercions toutes les personnes et organisations pour leurs commentaires.-source: Orbitax